Brigitte Macron et son goût pour la mode
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D’ailleurs, avec la reine de Belgique, Brigitte Macron partage de nombreux points en commun. « La même passion pour la culture, l’éducation, l’élégance. Sans oublier leurs combats tournés vers les autres, puisque la reine Mathilde, qui était orthophoniste, est engagée sur les problématiques de santé mentale et la défense des droits des enfants et des femmes », note Wim Dehandschutter, journaliste belge spécialiste de la monarchie. C’est en 2018 que les deux femmes se sont vraiment rapprochées. Et c’est surtout l’amour pour leurs enfants et petits-enfants qui les animent. Parmi les autres points en commun qu’elles partagent, il y a aussi le goût pour la mode.
À 71 ans, la Première dame a dû revoir ses habitudes vestimentaires
D’ailleurs, la Première dame, qui s’est confiée sur son fantasme, a été contrainte d’adapter ses tenues aux différents rendez-vous et voyages officiels qu’elle fait avec son mari. « Je repense à mon premier déplacement officiel au sommet de l’OTAN en Belgique, je porte une robe un peu courte. Je ne m’en suis pas rendu compte, car je m’habillais comme ça dans ma première vie […] Lors des voyages officiels, il est impensable de ne pas respecter le protocole. En règle générale, dans la plupart des pays, il est de bon ton de ne pas trop en montrer », confiait-elle. Et pour Brigitte Macron, certains petits réflexes ont été changés : « J’ai également du mal avec la longueur au-dessous du genou. Moi, c’est résolument au-dessus ! ».
« On me dit transgressive »
L’ancienne professeure souhaite ainsi s’adapter : « On me dit transgressive à cause de la vie que j’ai menée, mais je ne me vois pas du tout comme ça. Ce n’est même pas une question de mode : je ne suis pas suiviste. Par exemple, je n’ai jamais considéré que les talons hauts étaient un symbole d’aliénation pour la femme. J’en porte parce qu’en talons plats, je ne me sens pas bien, c’est comme ça ». Elle aime ainsi montrer qu’une Première dame doit être dans l’air du temps. « Quant aux sneakers, je n’en choisis que des compensées. J’ai besoin d’une cambrure, ce qui n’est pas plus mal : ainsi, la démarche est plus contrôlée, ce qui est opportun dans certaines circonstances. La critique n’est jamais un problème. Je n’ai aucune difficulté avec les critiques. En revanche, ce qui m’a toujours exaspérée, c’est la mauvaise foi, le mensonge et la malhonnêteté ».